"Je pense à notre peuple auquel il faudra de la force d'âme pour accepter de payer le prix de notre liberté" — Emmanuel Macron

Depuis l’attaque brutale lancée par Vladimir Poutine le 24 février dernier, la guerre est revenue à quelques heures de nos frontières sur le sol européen. […] Je veux que nous ayons une pensée pour le peuple ukrainien qui résiste héroïquement aux assauts terribles de l’armée russe et de ses supplétifs. Je veux ici redire ma profonde reconnaissance et la gratitude de toute la nation pour nos militaires qui assurent en ce moment même notre protection grâce aux différentes missions de réassurance, et en particulier nos militaires qui se sont déployés en quelques jours sur le sol roumain pour protéger notre flanc oriental, nos alliés, nos frères européens. Oui, les fantômes de l’esprit de revanche, les violations flagrantes de la souveraineté des États, l’intolérable mépris des peuples, la volonté impérialiste ressurgissent du passé pour s’imposer dans le quotidien de notre Europe, de nos voisins, de nos amis. […] Je pense à notre peuple auquel il faudra de la force d’âme pour regarder en face le temps qui vient, résister aux incertitudes, parfois à la facilité et à l’adversité et, unis, accepter de payer le prix de notre liberté et de nos valeurs. […]

Voilà quelques passages du fameux discours prononcé il y a quelques jours par Emmanuel Macron…

Le président français brandit le terrible ours russe comme épouvantail et comme alibi pour préparer et justifier d’avance les mesures de guerre à venir, les prochaines mesures liberticides et antisociales ainsi que ce qui s’annonce sur le plan de l’énergie. Et il le fait avec d’autant plus de force qu’un automne très chaud se profile…